Ouvert tous les jours de 12h à 19h - Renseignements & Réservations 06 58 40 42 50
Description de la chambre
Inspirée par la détermination et le courage de l'héroïne nationale, la chambre Jeanne d'Arc vous offre un cadre à la fois serein et noble, parfait pour un séjour de détente. Dotée d’un lit double, d’une salle de bain privative avec toilettes séparées, elle vous permet de profiter de tout le confort moderne. Le balcon privé offre une vue panoramique sur la vallée de l'Indre, idéale pour un moment de calme en toute intimité. Un plateau de courtoisie avec thé et café vous invite à une pause relaxante. Le linge de maison soigneusement choisi, incluant des serviettes de bain, garantit une expérience confortable et agréable.
Contact & Réservation
Le Presbytère
1, rue Thomas Pactius
37600 LOCHES
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Equipements
Nom de la chambre
Chambre Jeanne d’Arc
Nombre de lits
Nombre de salle(s) de bain
1 lit double
1 salle de bain avec douche à l'italienne
Linge de toilette
Linge de toilette fourni
Rangements
Penderie / Rangements
Extérieur
Terrasse avec vue imprenable sur la vallée de l’Indre et la collégiale St Ours
Toutes nos chambres bénéficient de
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Wifi
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Parking sécurisé
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Télévision
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Climatisation
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Petit déjeuner
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Service de nettoyage
(supplément de 15€ / Personne)
Jeanne d'Arc : Héroïne et sainte, la Pucelle libératrice de la France
Jeanne d'Arc (vers 1412-1431), surnommée « la Pucelle d'Orléans », est une héroïne nationale française et sainte de l'Église catholique. Née à Domrémy, en Lorraine, elle était issue d'une famille paysanne. Dès l'âge de 13 ans, elle affirma entendre des voix divines lui enjoignant de libérer la France de l'occupation anglaise pendant la guerre de Cent Ans. En 1429, elle convainquit le dauphin Charles de lui confier une armée, avec laquelle elle leva le siège d'Orléans, marquant un tournant décisif dans le conflit. Elle accompagna ensuite Charles VII jusqu'à son sacre à Reims. Capturée en 1430 par les Bourguignons, alliés des Anglais, elle fut jugée pour hérésie et sorcellerie, puis brûlée vive à Rouen en 1431. En 1456, un procès en réhabilitation annula sa condamnation, et elle fut canonisée en 1920.